Nous allons voir les 1ères opérations de prise en main de QGIS. QantumGIS n'est que la partie émergée d'un système très performant : le couple QGIS-PostGIS, que nous aborderons.

Nous prendrons même le temps de taper quelques lignes de SQL, directement dans QGIS.

QGIS, logiciel SIG open-source et gratuit, se télécharge puis s'installe aisément après avoir vérifié la binarité de votre machine. Nous travaillerons ici sous Windows et sur la version 2.18.12 (Las Palmas).

Cette dernière version déposera un répertoire sur votre bureau. Explorez-le, QGIS est aujourd'hui composite et vous n'avez pas installé que ce seul SIG.

Dans la foulée installez PostgreSQL et son interface de gestion PgAdmin 4, via le pack EnterpriseDB et l'utilitaire StackBuilder. Pensez à bien sélectionner l'installation de PostGIS également. Stackbuilder est toutefois un logiciel qui va s'installer sur votre machine, et que vous pourrez ré-utiliser par la suite.

Talend est une suite logicielle ETL, dont l'une des briques existe sous licence libre et gratuite : Talend Open Studio for Data Integration (TOS), dédiée à l'intégration et à la manipulation de sources de données hétérogènes. 

Téléchargez l'outil depuis la page officielle et installez-le sur votre machine. Il s'agit de dézipper le fichier fourni et de le placer près de vos programmes. Il contient deux exécutables (.exe), selon la binarité de votre machine, dont vous pouvez créer un raccourci.

N'hésitez pas à tester les deux exécutables en 32 ou 64 bits si besoin (incohérences constatées sur certaines machines sous Windows, mais sans problème fonctionnel).Figure d'un Data Warehouse Architecture (documentation Oracle, 2018)

Pour fonctionner, Talend a besoin d'une version récente de Java.

Ce tutoriel d'initiation suppose que soyez déjà familier avec les SGBD MySQL et/ou Postgres, et que vous en disposiez.

Les images de cet article sont cliquables et affichent des informations contextuelles supplémentaires.

Dans l'éternelle quête d'un système simple et performant pour mettre en place un système d'édition de données spatiales via un navigateur web, de façon sécurisée et sur une base Postgres, il faut nous confronter au framework Django.

Cet article est une vulgarisation/fusion des deux tutoriels officels Django et GeoDjango. Ces derniers sont bien plus détaillés et vous les trouverez ici : 

Le tuto officiel Django se base sur les toutes dernières versions des outils, et sur Linux. En fonction de sa machine locale ou des serveurs web à notre disposition, il peut y avoir des différences. La syntaxe de certaines lignes de commande Django ou Python peuvent changer, ainsi que la façon d'appeler vos apps ou vos importations.

D'autre part faire ses 1ers pas dans GeoDjango nécessite de s'être d'abord familiarisé à Django. On n'utilise pas ce module additionnel sans le framework complet.

Je vais donc tenter de clarifier tout cela, ne serait-ce qu'à mes yeux, et en allant rapidement vers les fontionnalités les plus basiques de GeoDjango. Au terme de cet article, nous aurons un système de CRUD sur de la donnée spatiale, en points, lignes et polygones, avec un fond OpenStreetMap, le tout accessible sur authentification.

FME (Feature Manipulation Engine) est un logiciel ETL distribué par la société Safe Software. Il est pourvu de nombreuses composantes spatiales (on dit parfois ETL spatial) et est déjà bien répandu dans le monde de la géomatique.

fme transformation

FME est sous licence propriétaire, mais il est possible d'obtenir une licence d'évaluation sur leur site officiel.

Nous allons ici prendre en main les fonctionnalités les plus basiques du logiciel.

Les images de cet article sont cliquables (affichage plein écran) et proposent parfois des informations contextuelles supplémentaires.

Si vous n'êtes pas encore familiarisé avec les ETL, vous pouvez consuter cet autre article, dont l'introduction évoque les ETL et entrepôts de données en général.